Perplexe: ce que j’ai ressenti la 1re fois que j’ai entendu parler de l’alimentation autonome du bébé (ou de la DME pour les intimes). Eh oui, même avec mon chapeau de nutritionniste, j’avais besoin de lire et d’échanger avec les mamans qui ont choisi cette méthode pour offrir les premières bouchées à leur bébé afin d’être bien éclairée et de bien comprendre ce qu’en dit la science.
J’ai donc suivi mon instinct de maman (avec mon chapeau de nutritionniste pas très loin) et j’ai rempli mon coffre à outils afin de découvrir toutes les subtilités cachées derrière l’alimentation autonome du bébé.
Simplicité, confiance et en harmonie avec la réalité des familles d’aujourd’hui, j’ai choisi de l’intégrer dans la routine familiale pour ma deuxième.
Un parcours tout simplement enrichissant, j’ai adoré toutes les étapes du processus d’apprentissage, qui a été tout aussi bénéfique pour chacun des membres de la famille, incluant bébé bien évidemment!
Des premières bouchées où bébé explore les aliments, au repas plus long qui permettent d’échanger ensemble tout étant un modèle pour eux. Parce que notre exemple est tellement puissant à leurs yeux.
Avec le recul, je réalise à quel point j’aurais aimé approfondir mes connaissances entourant la DME avant la naissance de ma plus grande, question d’avoir eu l’occasion de l’initier plus tôt dans ma routine familiale. Aucun regret par contre, je me sens privilégiée aujourd’hui d’accompagner les futures et les nouvelles mamans à bien s’outiller afin de la mettre en place une fois que bébé est prêt à débuter les aliments solides, soit vers l’âge d’environ 6 mois.
Et depuis que j’ai découvert la DME, j’en ai développé une réelle passion qui m’a même stimulée à concocter ma toute première formation en ligne, et l’envie de pouvoir revivre cette étape pour faire une panoplie de tests. Il reste maintenant à taquiner mes sœurs afin que je puisse avoir le privilège de devenir tante de nouveau.
Comentarios